Je suis un électricien de 35 ans ; je suis toujours chez les gens à faire des petits travaux pour eux. Ce jour-là n’était pas différent. L’homme de la maison m’a demandé de venir accrocher des ventilateurs de plafond. Je ne pouvais le faire qu’en semaine, donc ils ne seraient pas à la maison pendant que je le faisais.
Pendant que je faisais le travail, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir, c’était leur jeune fille qui était rentrée tôt. J’ai dit : “Oh, je suis désolé, mais vos parents m’ont laissé ici pour faire du travail”. Elle m’a répondu : “Ce n’est pas grave, je rentre juste plus tôt que prévu de mes cours à l’université, de plus je viens d’avoir 18 ans aujourd’hui, et je sors plus tard avec des amis”. La salope en chaleur entre et prend une douche, puis va dans sa chambre.
Cette femme asiatique est parfaite, de beaux seins et de longs cheveux noirs, une peau douce et sucrée. Je continue à travailler, puis je remarque qu’elle est allongée en travers de son lit, sa porte est légèrement ouverte. La femme sexy est sur le ventre, les jambes un peu écartées.
Elle porte un petit t-shirt blanc, et un petit string blanc. Je regarde son doux cul et sa chatte. J’ai rapidement une érection furieuse, je peux à peine travailler. Ce que je ne réalise pas, c’est qu’elle me voit regarder à travers son miroir dans sa chambre. Alors elle se lève et vient à la porte, et me demande “est-ce que tu aimes ce que tu regardes ?”.
Embarrassé, je lui dis “Je suis désolé, je n’ai rien fait de mal, je suis désolé”. La femme sexy rit, s’approche de l’échelle sur laquelle je me trouve et me dit : “Je vois que tu aimes ça”. Puis, à ma grande surprise, elle tend la main et touche ma bite dure.
Je sursaute un peu. Elle rit. La salope en chaleur dit alors “mes parents ont été stricts pendant 17 ans, et je veux faire quelque chose de fou.” Puis elle attrape ma bite et la serre, défait la fermeture de mon pantalon et sort ma longue bite dure.
Elle commence alors à la lécher très lentement et doucement. En massant mes couilles d’une main, elle commence à me faire une gorge profonde, lente et longue. Je n’arrive pas à croire ce qui se passe. Je commence à jouer avec ses cheveux pendant qu’elle me suce gentiment.
Puis je descends de l’échelle, et je commence à frotter son cul parfait et à l’embrasser sur le cou, les oreilles et les lèvres. Pendant qu’elle caresse ma bite. Je la soulève et la porte dans sa chambre. Là, je l’allonge sur son lit, j’enlève son string, et je commence à lécher ses orteils, ses jolis pieds, puis je remonte le long de ses cuisses brunes.
J’atteins sa chatte maintenant humide. Je chatouille ses lèvres avec ma langue, puis je les écarte et j’enfonce ma langue profondément. Elle gémit, pendant que je l’aspire et la suce, cette jeune et douce chatte. Puis je la retourne pour un 69. La femme sexy suce ma grosse bite noire et dure, pendant que je lui bouffe la chatte par derrière. Je lèche son cul serré. On fait ça pendant environ 30 minutes. Puis je la mets en position de chien.
Je fais glisser ma bite lentement, pour qu’elle puisse sentir les 20 cm à l’intérieur. Je lui frotte le cul tout en jouant avec ses seins et en doigtant sa chatte. Puis je m’arrête et m’assois sur sa chaise à son bureau. La salope en chaleur se met à califourchon sur moi et m’enlace autour du cou tout en se frottant à ma queue. Nous continuons ainsi jusqu’à ce qu’elle jouisse plusieurs fois.
Quand je me sens sur le point de jouir, elle se lève et attrape ma bite. La femme sexy la prend dans sa bouche et commence à la caresser. Je gémis de plaisir. Je laisse échapper un jet de sperme chaud et collant. Elle prend tout dans sa jolie bouche. La salope en chaleur en laisse couler sur ses lèvres, son menton et son cou et avale le reste. Elle prend ma bite et lèche le reste du sperme.
Je n’arrivais pas à croire ce qui venait de se passer. La salope en chaleur m’a dit de me rhabiller et de retourner au travail parce que ses parents allaient bientôt rentrer du travail.
Imaginez le sentiment que j’ai eu en parlant à son père plus tard dans la soirée. Il m’a demandé : “Tu l’as fait ?”. J’ai répondu : “Oh oui, j’adore ce travail.”